Djulé,
je rentre de la Nubra. Pour y aller il faut traverser la plus haute route du monde : 5700m, mais ce n’est pas une tasse de thé quand il faut la faire en hiver. Au menu (à savourer avec modération) : glace vive, neige poudre pulvérulente, et terriblement glissante, ornières de 50 cm de profondeur, trafic énorme de gros camions indiens (of course !), et j’oubliais, bien sûr, voitures a pneus lisses et sans chaines !! C’est plus drôle car quand tu dérapes tu vas taper le mur de neige en te demandant toujours s’il va tenir car derrière il y a un petit vide de ... 1000 m !
À part ces émotions de routine ici, ça va bien.